
reçu aujourd'hui de la pub de Charlie Hebdo.
Pas une pas deux, voici mes réponses, et sans besoin de timbrer, le bonheur ;-))
Prof. John Akapulco on ze ouèbe
Comment vous prouver mieux ma gratitude que de sortir un canard qui ne respectera rien, n'aura aucun tabou, qui chiera tranquillement dans la colle des bégonias sans se soucier des foudres et des inimitiés de tous les emmerdeurs !
Comptez sur moi, vous n'avez pas misé sur un bourrin... Vous n'allez pas être déçus ! « Siné Hebdo » va débouler et ça va décoiffer ! Attention les yeux !
Merci encore de votre aide sans laquelle ce projet n'aurait jamais vu le jour."


Bref, ces pitres peinturlureurs n'ont vraiment rien d'autres à foutre dans le secteur de Locoal... Ironie de l'histoire : une cache du chouan local Georges Cadoudal est située à 200 m de cette maison laissée en ruine. Les chouans, les nationalistes bretons, un lien rapide ? Maurice Marchal, royaliste adorateur des chouans. Qui est ce zèbre ? Le créateur du drapeau drapeau breton, le visuel des matchs de foot et autres kermesses, le "Gwen ha Du", "blanc et noir". Créé sur le modèle américain vers 1923, ce nouveau drapeau s'est imposé réellement dans le paysage dans les années 60 sur la vague Rock&Folk et la mouvance "vivre et décider au Pays". Maurice Marchal, son concepteur, se faisait prénommé Morvan, plus chic que Maurice dans ce milieu vous pensez bien. Cet ostrogot fut un de ces collabos indépendantistes bretons en 39-45 qui fricotaient avec les nazis ; en effet, ces derniers favorisaient les minorités pour mettre à bas la Gueuse, la République française. A la sortie de la guerre, le Momo écopa d'une peine de 15 ans "d'indignité nationale". Et paf sur les fafs ! Ce qui ne l'empêcha pas de continuer de cracher sa bile dans une revue néo-druidiqe nazie, Nemeton. On ne se refait pas.